Tunisie - Deux ans et demi se sont déjà écoulés depuis la révolution du 14 janvier 2011, Cela a engendré un tremblement politique dont les
répliques ne cessent d'être ressenties sur les plans : économique, culturel, social et à fortiori au niveau des médias et plus globalement au niveau
des politiques communicationnelles.
Peu de temps avant la révolution, des tendances dites « modernistes » avaient envahi la scène de la communication entre 2010 et 2011, favorisant
"tout ce qui est osé ", au niveau du contenu des slogans et du graphisme.
Avec la montée des courants islamistes, nouveaux arrivants sur la scène politique et sociale, de nouvelles problématiques se posent :
- Faut-il modérer "le ton osé" dans nos spots et adopter une ligne plus soft et prudente ?
- Ou sera-t-il plus pertinent de continuer à « oser au risque de choquer ?
- Qu’en est-il, de nos jours, de la perception des messages publicitaires par les tunisiens ?
Certes, face à la multitude des courants sociaux, culturels et fondamentalistes religieux qui se sont manifestés dernièrement, l’un des
challenges à relever est d’anticiper et d’étudier la perception des consommateurs tunisiens, pendant cette période de transition, dans le sens large du terme.
Diagnostiquer et intégrer l’état des lieux seraient déjà un premier pas vers une vision plus claire et proactive
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